Délire d’ivrogne…
Je n’ai rien à te dire ! Va t’en,
Ton bouillonnement est très drôle,
Mais il n’est pas encore venu le temps,
Où j’accepte de parler à un liquide sans alcôôle.
Arrêtes de sinuer et calme ton cours,
Je me fiche de ce tu penses, (Hips !)
Tu auras beau prendre tours et détours,
Je n’écoute pas tes remontrances, (Hips !)
Rivière Kawaï ! Tu coules maintenant calmée,
Par monts et par vaux sinueux,
Stupide pimbêche ! Je sais ce que tu me hais,
Tu n’a jamais supporté, que je préfère le fermenté.
Amante jalouse, c’est mon corps que tu voulais,
Tu as échoué cette pierre à ton côté, (Oups !)
Espérant que je m’y prendrai les pieds,
Hé bien pas question, je préfère encore plonger (Bloups !).
Poème anonyme retrouvé enroulé dans une bouteille… dans la poche d’un noyé.